La partie D traite du développement de concepts pour optimiser la mise en réseau, la transparence et le flux d’informations entre les acteurs de la recherche et de la pratique, en vue d’accélérer le transfert de technologies et de connaissances dans la protection biologique des cultures.
À cette fin, la coopération entre les différentes institutions de recherche sera encouragée plus fortement, et la participation des viticulteurs au processus de recherche rendu possible. Pour cela, les points de transfert de connaissances et d’informations doivent être identifiés et les réseaux existants doivent être étendus. Par ailleurs, une plateforme d’échange interactive sous forme d’application web est en cours de développement et sera mise à disposition de tous les acteurs du projet et de toutes les parties intéressées, pour permettre un échange direct au sein et entre les différents systèmes pendant la durée du projet. Cela donnera à chacun, chercheurs et vignerons, la possibilité d’examiner et de tester les suggestions mutuelles.
Les connaissances acquises et les résultats obtenus dans les différentes thématiques de recherches seront communiqués aux viticulteurs déjà pendant la durée du projet, par le biais de forums, de séminaires, des cours de formation, des journées sur le terrain etc. Les retours d’expérience seront collectés, structurés et préparés par la partie D et transmis immédiatement aux institutions de recherche respectives. Ce transfert intensif et rapide de connaissances garantit une recherche proche de la pratique.
De plus, des agents multiplicateurs seront formés, du matériel de travail conçu et un concept pour le domaine de la formation et de la formation continue développés. Tous les contenus et résultats seront préparés pour des groupes cibles spécifiques et transférés par les différents canaux d’information à la pratique, la recherche, les conseils et les acteurs économiques.
En outre, il est prévu d’établir un réseau de recherche pratique axé sur la «protection des plantes en viticulture biologique». À la fin du projet, un plan d’action pratique pour réduire encore davantage l’utilisation du cuivre dans la viticulture biologique sera disponible aux viticulteurs.
Contact:
Dienstleistungszentrum Ländlicher Raum Rheinpfalz (DLR-RP): Charlotte.Hardt@dlr.rlp.de
Institutions concernées:
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